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pédophilie, trop de choses dans le silence, trop de souffrance face à une justice incapable

pédophilie, trop de choses dans le silence, trop de souffrance face à une justice incapable

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 L'ADOLESCENT:
trops facilement appellée "crise d'adolescence" la dépression de l'ado peut sugir lors de la perte d'un membre d'une famille, un échec scolaire, un divorce ...
A long terme la dépression devient aggravante, peuvent être les résultats de maltraitance physique, psychique ou de violences sexuelles.
quelques facteurs :


  • la tristesse
  • le sentiment d'auto-dévalorisation, d'être incompris, étranger..
  • les problèmes de sommeil
  • l'Irritabilité, le repliement sur soi-même
  • les difficultés de concentration
  • la fatigue, la diminution de l'élan vital
  • les douleurs dorso-lombaires
  • Les troubles alimentaires
  • la diminution des activités ludiques, abscence de rire, de sourire
  • L'analyse essentiellement négative des choses
  • les conduites addictives
  • les conduites à risques voire suicidaires
  • la Baisse des résultats scolaires
  •  

    reconnaitre les troubles dépressifs chez l'enfant

     
    L'épisode dépressif de l'enfant présente une expression clinique particulière : face à un enfant en retrait, au visage souvent sérieux, peu mobile, ou à l'air absent, il faut savoir rechercher l'humeur dépressive.
    De même en présence d'un enfant décrit comme irritable, agité, opposant et insatisfait, il faut penser aussi à mettre la tristesse en évidence.
    Humeur dépressive et tristesse, qui sont les caractéristiques de l'épisode dépressif, ne peuvent être perçus qu'à partir d'une écoute attentive et avertie.
    L'expression sémiologique peut s'analyser à partir du discours et du comportement de l'enfant, et des propos des parents.

     

    le discours de l'enfant

     
    Les mots de l'enfant directement exprimés ou rapportés par ses parents sont explicites :
    ---- "Je m'en fous" - "J'en ai rien à faire"
    ---- Perte d'intérêt et du plaisir - "J'ai envie de rien"
    ---- "Je suis nul" perte de l'estime de soi, dévalorisation, - "J'y arrive pas" impuissance
    ---- "Je suis méchant" - "C'est de ma faute" sentiment de culpabilité, de honte - "J'ai honte"
    ---- "Mes parents ne m'aiment pas" perte d'amour, sentiment de désespoir avec - "Personne ne m'aime" parfois idées de mort et de suicide
    ---- "Je n'y arrive pas, c'est trop dur" troubles de l'attention, de la concentra- - "Je comprends rien" tion - "Je sais pas, j'm'en rappelle pas" et de la mémorisation

    Ainsi, la difficulté à se concentrer et à penser entraîne soit un évitement, un refus du travail scolaire, soit une obstination stérile de longues heures tous les soirs sur les livres et cahiers se soldant par une incapacité d'apprendre et de mémoriser.
    Dans les deux cas, on aboutit à un échec scolaire. A l'inverse, le surinvestissement et la réussite scolaire n'exclut pas la dépression.

     

    comportement

     
    A partir du comportement de l'enfant :
    Si les troubles du comportement les plus bruyants sont les plus facilement repérables, ils ne sont pas les seuls à prendre en compte.
    ---- L'irritabilité de l'enfant, une excitation débordante allant jusqu'à l'épuisement au détriment du jeu sont parfois au premier plan.
    ---- On note alors le peu d'intérêt pour le contact avec autrui.
    Ces symptômes alternent avec des moments de repli et d'inertie motrice.
    Avec l'âge, la sémiologie marquée par l'instabilité, l'irritabilité, la colère peut devenir prépondérante par rapport à l'inertie et au retrait.
    ---- Des troubles de l'appétit peuvent également s'observer : plutôt un comportement anorectique dans la petite enfance et un comportement de boulimie ou de grignotage chez le grand enfant ou le pré-adolescent.
    ---- Le sommeil est difficile à trouver avec souvent des oppositions au coucher, des refus d'endormissement, des cauchemars.

     

    aide aux victimes

     

    Un numéro de téléphone utile si tu es victime de mauvais traitements (119)


     Si tu n'as pas le courage d'en parler directement avec tes parents, parles-en à ton ou ta meilleure ami(e), à quelqu'un dont tu es proche qui lui le dire, ou écrit-le c'est parfois plus facile d'écrire et fait que tes parents ou quelqu'un que tu connais tombe sur cette lettre et dénonce ce qu'il t'arrive. Consulte un psychologue si tu vas pas bien, n'hésite jamais à en parler tu n'as pas de honte à avoir, même si je sais que c'est toujours ce sentiment de honte de culpabilité qui reste, 2 ans que j'en parle mais c'est impossible à oublier, personellement je ne suis pas suivie je trouve ça inutile j'ai eu un psychologue incompétent mais passé l'age des 15 ans c'est maintenant que les souvenirs remontent, on croit pouvoir vivre avec et les garder pour soi mais c'est impossible.
    Surtout ne garde jamais rien pour toi, parle révolte toi ne reste pas dans ce silence qui te détruira y aur toujours quelqu'un pour t'aider, même si dans certains cas les parents gardent le secret ne voulant pas détruire la famille si c'est un membres de la famille qui a fait ces actes criminels, ou ne croient rien en rien, il ne faut jamais desespérer et laisser faire, au pire appellez le 119 , un numéro qui vous aidera fortement , mais ne restez jamais dans le silence, je sais que c'est dur à dire ce genres de choses, mais une fois que c'est dit c'est dit, et c'est une autre vision que l'on a de tout ça.

     

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